C’est avec une grande tristesse que nous apprenons ce jour, le décès de Monsieur BELGACEM Mohand Ouali (connu sous le nom de: l’Hadj Ouali n’ At Laεmara) à l’âge de 90 ans du village Tillilit.
L’association Timllilith-IB présente ses sincères condoléances à ses enfants, sa famille, à ses proches ainsi qu’au village Tillilit.
Qu’il repose en paix.
La levée du corps aura lieu le Mardi 12 Août 2014 à 10 heures à l’hôpital Paul Brousse, 14 Avenue Paul Vaillant Couturier à VILLEJUIF.
« Documentaire réalisé par Studio21, école primée au 11 ème festival du film Amazigh, « Prix Special du Jury » le 23 mars 2011 à Azefoun. Sous-titrages en français. C’est le récit d’une journée passée en compagnie de jeunes bergers du Djurdjura. »
« Médiatiser aujourd’hui la vie paysanne traditionnelle, c’est participer au sauvetage de la diversité culturelle contre l’uniformisation et la standardisation du monde. C’est sauver des poches d’autonomie sociale et culturelle, sauver des espèces de graines, des variétés de plantes, des espèces d’animaux menacées d’extinction. Réhabiliter les paysans au moment où ils sont chassés de leurs collines, leurs richesses pillées, leurs savoirs déclassés, leur mémoire réduite à néant, leur image dévalorisée aux yeux de leur progéniture, ce n’est pas de la militance ordinaire : c’est affirmer haut et fort que les paysans sont l’avenir du monde. »
Le visionnage, à partir de la 33 ème minute, de ce film : « Wardya N 13 », réalisé par Younès Boudaoud, va nous permettre de revoir Na Ouiza, cette chère disparue en Décembre 2010 à l’âge de 90 ans et qui a été un personnage emblématique de notre village Ighil Bougueni. Continuer la lecture de Hommage à Na Ouiza.→
L’Aïd à Vava Lhadj, Ighil Bougueni en 1952. « Le choix est pertinent : le cimetière est un lieu hautement significatif. On imagine la musique, les danseurs pas très loin, le villageois de dos en était peut-être un ? Pour la circonstance, il fait parler la poudre et c’est probablement la dernière fois que les coups de feu, accompagnés de cris de joie des femmes, sont tirés dans ce lieu. Quelques mois après cette fête, ils seront remplacés, pour de vrai, par des tirs de guerre qui coûteront la vie à l’un des futurs maquisards qui figure sur la photo, Yidir At Ssaɛid, Idir Aït Chellouche à l’état-civil, (deuxième à partir de la droite) arrosant ainsi de son sang, la terre des ancêtres. Document visuel d’une grande importance, cette photographie, vieille de soixante deux ans, a fixé à jamais un moment de la vie du village, parce qu’après, plus rien ne sera comme avant. » Farida Aït Ferroukh.
Noms des déportés algériens «Registre des personnes, déporté sur le Danae à la colonie pénitentiaire française Nouvelle-Calédonie après la chute de la Commune de Paris et des navires transportant plus tard déportés, de 1872 à 1876. Avec des notes sur leur sort, des destinations différentes, la mort, le retour à la France jusqu’en 1879. 1872-1879. 1 volume. ‘ Documents Max Nettlau: numéro d’inventaire 3155 Voir UNE LISTE aveC Tous Les ONM (. pdf, 950KB) NB Le noms ont été notés phonétiquement par le fonctionnaire du ‘Commandant Territorial’. L’orthographe est donc incertaine.
LES DÉPORTÉS :
Après l’insurrection de la Commune de Paris en 1871, de nombreux communards, parmi lesquels Louise Michel et Henri Rochefort, sont déportés en Nouvelle-Calédonie. Toutefois, la très grande majorité d’entre eux ne sont pas astreints aux travaux forcés.
À partir de 1874, des hommes originaires d’Algérie, condamnés de droit commun ou prisonniers politiques de la révolte kabyle de 1871 sont envoyés en « Calédoune » du nom qu’ils donnent à l’archipel. L’amnistie ne leur étant accordée à tous qu’en 1895, un certain nombre d’entre eux sont installés dans la vallée de la Nessadiou où ils s’unissent avec des femmes originaires de la transportation. Il existe aujourd’hui un cimetière dit des « Arabes » près de Bourail.
Nous avons trouvé cet article intéressant et souhaitons le partager avec vous. C’est un bel hommage rendu aux mères kabyles d’antan. Vous trouverez, en fin de page, la source de cet article ainsi que la vidéo de de la chanson, « Yemma th-dda hafi » de Bélaïd Tagrawla, proposée par l’auteur.