Archives de catégorie : Infos association

Décès de Monsieur Ami Saâda Abdelkader du village Tillilit.

Bonjour à toutes et à tous,

C’est avec une grande tristesse que nous apprenons ce jour le décès de Monsieur AMI SAÂDA Abdelkader, du village Tillilt, à l’âge de 68 ans et survenu ce matin à Paris 15ème.

Pour rendre hommage au défunt et présenter vos condoléances à la famille, vous pouvez vous y rendre -au domicile – 26 rue de la Marne 78800 Houilles, ou vous y rendre demain –dimanche 21 juin 2015– de 16h00 à 17h30, à la Maison médicale Jeanne Garnier (adresse : 106 Avenue Émile Zola, 75015 Paris, Métro -ligne 10-, station: La Motte Piquet Grenelle).

  • La levée du corps aura lieu, le mercredi 24 juin 2015 à 10h00, au même endroit : Maison médicale –Jeanne Garnier–.
  • Le rapatriement s’effectuera le jeudi 25 juin 2015, par le Vol de la compagnie Aigle Azur (Vol ZI 255), au départ d’Orly à 8h00. L’arrivée à Alger est prévue pour 9h00 (heure locale).

L’association Timlilith-IB présente à sa famille, ses proches ainsi qu’au village Tillilt ses sincères condoléances.

Qu’il repose en paix.

Timlilith-IB

Retour, en vidéo diffusée par Berbère TV, sur la fête du village Ighil Bougueni du 24/01/2015 au Palais91.

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Bonjour à toutes et à tous,

Nous vous proposons ci-dessous un reportage vidéo d’environ 52 minutes restituant les moments clés de la fête du village du 24 janvier 2015. Ce reportage a été diffusé le 13 Juin 2015 sur la chaîne BR-TV (Berbère TV) dont un des collaborateurs était présent à cette fête. Il a pu ainsi en filmer quelques moments privilégiés et recueillir les sentiments de celles et ceux qui ont accepté de dire un mot. Continuer la lecture de Retour, en vidéo diffusée par Berbère TV, sur la fête du village Ighil Bougueni du 24/01/2015 au Palais91.

Décès de Monsieur BOUYAHIA Nasser : le 5 juin 2015.

IMG_0493C’est avec une grande tristesse que nous apprenons le décès le 5 Juin 2015, de Monsieur BOUYAHIA Nasser à l’âge de 56 ans.

L’association Timlilith-IB présente à sa famille ainsi qu’à ses proches ses sincères condoléances.

Qu’il repose en paix.

Timlilith-IB

Pour présenter vos condoléances  à la famille, vous pouvez vous rendre au domicile de sa mère Mme BOUYAHIA Zaïna née AIT MEZIANE – 8 rue Antoinette – 93100 MONTREUIL.

ou

Samedi 6 juin 2015 à 15h30 à la chambre funéraire de CHATILLON 92320  – 4 Villa des Paroseaux.

La levée du corps se fera à la chambre funéraire de CHATILLON le Mardi 9 juin 2015 à 9h00. Un parking situé au 21 rue Pierre Brossolette est à notre disposition (il se trouve face au cimetière).

L’enterrement aura lieu à 10h au cimetière intercommunal de CHEVILLY LARUE  94550 – 125 Boulevard Jean Mermoz.

Le sacrifice de « Thimchret » revient au village d’Ighil Bougueni

Les traditions rituelles villageoises (Anzar, Louaada, Thimchret, Zarda, ….) sont ancestrales. Malgré leur caractère parfois anachronique et désuet, elles ont toujours lieu dans les villages de Kabylie et d’ailleurs. Elles sont aussi, et souvent, l’occasion de festoyer, de rendre hommage, de se réunir, de se voir les uns les autres,  d’affronter les difficultés de la vie…

Parmi ces rites, « Thimchret » consiste à sacrifier collectivement des animaux, généralement des bovins, au profit de tous les habitants d’un même village pour partager le même repas quel que soit le rang social. Elle sert aussi à faire face aux malheurs collectifs, à resserrer les rangs, à exalter le sentiment de solidarité, et à rassembler  la communauté autour d’objectifs communs .

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Projet Assirem : le dossier complet.

A tous les membres de l’association Timlilith Ighil Bougueni,

A toute la communauté n’Ath Amar Oussaïd,

A tous ceux qui nous ont accompagnés sur ce projet,

Aux abonnés de ce site,

A tous les amis et sympathisants de Timlilith Ighil Bougueni.

 Après s’être largement épanché sur le forum de discussion de notre association (Google Groupes) , c’est maintenant sur le site internet de l’association qu’un des membres et administrateur de Timlilith Ighil Bougueni tente de créer la polémique d’abord de façon virulente et disproportionnée (voir cet article) puis de manière plus posée mais non sans quelques inexactitudes (voir cet autre article). Ces deux articles se voulant un droit de réponse à la mise au point diffusée récemment par les administrateurs de Timlilith Ighil Bougueni (Mise au point).

Nous, membres du bureau de l’association, considérons ce site comme un havre de paix, une vitrine de l’association et non une arène de joutes verbales. Malgré cela, nous ne pouvons rester sans réaction et laisser des contrevérités inscrites sur notre site sans les désamorcer une à une et rétablir le véritable rôle de chacun dans ce dossier.

Nous allons pour cela étayer nos propos par des faits, rien que des faits, sans donner dans le sentimentalisme ou tenter de faire pleurer dans les chaumières. Notre objectif étant de livrer tous les éléments qui permettront à ceux qui s’y intéressent ou qui ne savent plus quoi penser des dissensions actuelles, de se faire un avis basé sur des faits documentés et ainsi de comprendre que cette décision d’arrêter ce projet n’a pas été prise sur un coup de tête par des gens confortablement assis au chaud dans leur salon, comme semble le suggérer certains récents témoignages. Cela nous contraint à nous référer à des documents (compte rendus de réunions archivés accessibles qu’aux seuls administrateurs de Timlilith Ighil Bougueni, emails…) et à faire référence nommément à des personnes (qu’elles nous en excusent d’avance).

Nous rappelons ici que la base de l’action associative est la « décision collégiale », le « compromis », le « rendre compte ». Ce n’est pas celui qui crie le plus fort qui a raison. Si mon avis est minoritaire, si je ne suis pas d’accord avec la collectivité et que je ne peux m’y résigner, ma seule option raisonnable et digne est la démission. Nous sommes tous bénévoles au sein de Timlilith Ighil Bougueni. Tout le monde peut voir dans ce qui suit que nous avons toujours essayé de mettre dans notre organisation un minimum de forme pour se rapprocher d’un fonctionnement associatif normal et moderne. Et dans notre mode de fonctionnement, la décision collégiale est la seule à prévaloir. Il n’est pas possible de fonctionner sérieusement si chacun au sein de l’association se met à renier les décisions collectives et prend seul des décisions soit allant à l’encontre du choix majoritaire, soit sans en aviser les autres, engageant de surcroit la responsabilité de l’association.

Comme nous l’avons dit dans notre précédent article, c’était un projet d’aide au centre «Si Mokrane» et non un projet conditionnant la survie de ce centre qui a fonctionné et fonctionnera normalement avec ou sans ce projet. Contrairement à ce qui a pu être sous-entendu, la terre ne s’arrêtera pas de tourner sans ce projet. Ni les associations «Assirem» et «les enfants du cœur» ni le centre «Si Mokrane» n’attendent les fonds alloués dans le cadre de ce projet pour fonctionner et travailler au profit des enfants handicapés mentaux d’Ain El Hammam et d’ailleurs. Et pour preuve, l’association «Assirem» est actuellement en cours de création d’un «centre d’aide par le travail» au profit des enfants déficients mentaux adultes sur des locaux alloués par la commune d’Ain El Hammam (voir cet article sur la dépêche de Kabylie).

Au final, cet administrateur doit comprendre qu’il a déjà fait assez de mal à notre association, à « Assirem », au centre « Si Mokrane » et à toute notre communauté. Nous nous excusons auprès de tous nos adhérents et auprès de notre communauté pour toutes ses outrances verbales. Nous estimons toujours que ce conflit doit se régler dans les instances de notre association, prévues par son règlement intérieur, et non sur la place publique. Et il le sera dans la concertation collective entre les administrateurs de Timlilith Ighil Bougueni.

Alors bons vents à «Assirem» et aux «Enfants du cœur».

Et bonne lecture.

Les membres du bureau de l’association Timlilith Ighil Bougueni.

ASSIREM - Bouton

Eclaircissement sur le projet ASSIREM

Cet éclaircissement sur le projet « Assirem » « Enfants du Coeur » me paraît nécessaire pour bien comprendre les échanges actuels.

Au Printemps 2013, j’ai découvert le centre si Mokrane et l’association qui la dirigeait (Assirem).Dès mon retour, j’ai pris contact avec une ONG, Médecins d’Afrique, domiciliée à Savigny sur Orge,(ou j’habite).

C’est à partir de là que le projet a débuté, après en avoir informé le bureau de l’association Timlilith IB dans un premier temps et les autres villages Ait Amar Oussaid ensuite.

Avec Médecins d’Afrique, j’ai passé des mois et des mois à monter le dossier tel que vous pouvez le trouver sur le site de Timlilith IB.

En octobre 2013, un partenariat a été formalisé entre Timlilith IB et Assirem à l’occasion de mon voyage au bled. Une fois finalisé avec Médecins d’Afrique et l’opérateur de projet Touiza solidarité après moultes réunions de travail, j’ai déposé ce dossier en mai 2014 pour obtenir des subventions auprès des organismes suivants :

PRA/OSIM = Ministère du travail 15 000€

Région Ile de France 10 000€

Département de l’Essonne 4 500€

Parallèlement, j’ai démarché des fondations par téléphone et mails (Total, EDF, Mac Donald, Rotary, Total algérie, Sanofi, Nestlé..) pour ne citer que les plus connus.

J’ai également sollicité ma député de circonscription Eva Sas, qui nous a octroyé 3000€. sur sa réserve parlementaire.

En Eté 2014, les premières réponses positives m’ont été notifiées par écrit (copies sur le site). Ensuite, pendant mon séjour en Octobre 2014 (L’Aid) j’ai pris soin d’augmenter l’audience de notre projet auprès des autorités locales, c’est à dire A.P.C. Et A.P.W, qui m’ont signifié leur soutien par écrit (documents sur le site).

J’ai par ailleurs sollicité, durant ce séjour,  ma fille Nora pour la réalisation d’un film sur le Centre Si Mokrane (ou elle a passé une journée complète auprès des enfants et du personnel) , dans le but que celui-ci nous serve d’outil d’information et de sensibilisation sur le Handicap à destination des écoles en Ile de France comme prévu dans le projet . Ce film est disponible.

En novembre dernier, en plus de l’ensemble des accords de subvention, j’ai démarché la fondation Dominique et Tom Alberici, qui après envoi du dossier, m ‘a sollicité pour une rencontre sur Paris en mars 2015, et qui vient de me notifier un accord pour une subvention de 8000€ .

Courant décembre 2014, le  Docteur Hadji me téléphone pour m’informer que l’association Assirem est désormais sous la tutelle des « Enfants du Coeur », association nouvellement créée par le propriétaire du centre (Areski Mohammedi), qui reprend totalement la gestion du centre avec l ‘aval du Docteur Hadji, rédacteur de la convention liant les deux associations (voir sur le site). C’est là que le dérapage commence.

Lors de la réunion du bureau de Timlilith IB le 14/12/2014, certains ont mis ma parole en doute en passant derrière mon dos pour vérifier mes propos auprès du Docteur Hadji, et là j’ai compris que le dossier devenait trop ambitieux pour Timlilith IB.

Lors de cette réunion, le bureau a décidé d’adresser un courrier au Docteur Hadji pour obtenir des informations sur la situation et il a fallu que j’insiste pour qu’un autre courrier soit adressé à la nouvelle structure « Les Enfants du Coeur », et ce, après un débat houleux.

Les deux courriers ont été pris en charge par un membre du bureau de Timlilith IB qui est venu pendant la période de la cueillette des olives ; ces deux courriers ont été remis au Docteur Hadji, qui a lui-même déposé la lettre des « Enfants du Coeur » sur le bureau de ce dernier, sans aucune explication (selon les dires de Mr Azouaou Bel Messaoud, Président de l’association Les Enfants du Coeur).

Depuis décembre 2014, je me suis mis volontairement en retrait pensant que l’initiative collective pouvait aboutir.

En février 2015, j’ai envoyé un mail au bureau de Timlilith IB pour relancer la machine, signalant que compte tenu que personne n’avait bougé, je prenais l’initiative de débloquer la situation en mars 2015 lors de mon séjour au bled. Je n’ai jamais reçu de réponse.

Fort de la maîtrise du dossier de A à Z, à juste titre, j’ai cru bien faire en faisant signer la convention avec les « Enfants du coeur » (identique à celle signée par Assirem), et l’ai fait parvenir au bureau de Timlilith IB, permettant ainsi au Président de l’association de signer le formulaire de déblocage des fonds avec le bailleur (Ministère des Affaires Etrangères, PRA/OSIM). Aucun obstacle ne devait s’opposer à la concrétisation de ce projet.

C’était sans compter sur la frilosité du bureau de Timlillith IB qui invoqua des excuses infondées pour totalement arrêter le projet auprès des bailleurs.

Cette décision a été prise par le bureau de Timlilith IB le 12/04/2015 sans que j’en sois informé, et sans que l’ensemble des autres villages Ait Amar Oussaid n’aient été associés à la prise de décision (ce projet étant commun aux 4 villages).

Cette information m’a été donné uniquement par Le Ministère des Affaires Etrangères. (voir mes échanges sur le blog de Timlilith IB).

Malgré tous les efforts déployés et la confiance dont je bénéficiais de la part des 4 villages sur ce dossier, aujourd’hui le bureau de Timlilith IB confirme que la parole donnée n’est pas respectée et qu’il n’agit pas en respectant ses partenaires. Par conséquent, il est très mal placé pour s’ irriger en donneur de leçon.

Ce projet « avorté » restera comme une tâche dans l’histoire de Timlilith IB.

Je regrette que les sommes allouées (près de 50000€) soient perdues et ce, à cause d’une simple signature : même si le partenaire local a changé, ce sont les mêmes enfants handicapés, du même centre Si Mokrane, et c’est le même personnel « bénévole » qui œuvre toujours pour leur venir en aide.

Quel gachis !!!!!!!!